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Le site de Montauban | |||
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Le site de fondation initiale de la ville est délimité sur trois côtés par des cours d’eau : le Tarn à l’ouest, le Tescou au sud-ouest (jusqu’au confluent avec le Tarn) et le ruisseau de la Garrigue (la Mandoune) au nord-est (jusqu’au confluent avec cette même rivière). |
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Lieux et monuments | |||
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La commune compte 43 monuments répertoriés à l’inventaire des monuments historiques et 140 lieux et aucun monument ou lieu répertorié à l’inventaire général du patrimoine culturel. Par ailleurs, elle compte 606 objets répértoriés à l’inventaire des monuments historiques et un objet répertorié à l’inventaire général du patrimoine culturel. |
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Musée Ingres | |||
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Après la Révolution et la confiscation de l’hôtel épiscopal par les révolutionnaires, celui-ci sert d’hôtel de ville, puis est affecté à la fin du XIXe siècle à un musée. En effet en 1851, Ingres, âgé de soixante-et-onze ans, donna à la ville une partie de ses collections, copies, travaux d’élèves, vases grecs. La salle Ingres fut inaugurée en 1854. La mort d’Ingres en janvier 1867 conduisit à l’enrichissement exceptionnel constitué par le fonds d’atelier du Maître, notamment plusieurs milliers de dessins. |
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17e régiment du génie parachutiste | |||
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Période : 1er mars 1944 |
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Historique | |||
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1870/71 : création de la 17e Compagnie (2e Régiment du génie) : participation à la défense de Paris, Saint-Denis, Mont-Valérien, combats du Bourget, batailles de Champigny et de Buzenval, établissement de ponts sur la Marne. |
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Missions | |||
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Le régiment assure au profit de la 11e brigade parachutiste toutes les missions spécifiques du génie dans un cadre d’emploi aéroporté, héliporté et mécanisé. |
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L’appui direct | ||
- participation au combat de contact (combat interarmes, opérations aéroportées et héliportées, combat en milieu urbanisé ou confiné) ; - appui à la mobilité (génie d’assaut, ouverture et maintien d’itinéraires, déminage, dépollution et dépiégeage de zones, reconnaissance et aménagement de terrain de poser d’assaut ou de largage à très faible hauteur). Ainsi en janvier 2013, lors de l’opération Serval au Malin, la section spécialisée du 17è RGP a été parachutée avec ses engins sur les aérodromes de Tombouctou et de Tessalit, permettant la remise en état rapide des pistes rendues inutilisables par les terroristes, |
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L’appui général | ||
- aide au déploiement, hors urgence (rétablissement et aménagement d’infrastructures opérationnelles, action de protection, de déminage et de dépollution) ; |
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9e bataillon de soutien aéromobile | |||
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Le 9e bataillon de soutien aéromobile (9e BSAM) de Montauban est l’acteur central du soutien des hélicoptères. Gazelle au 9e BSAM. |
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MISSION – COMPOSITION – MATÉRIEL | |||
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Mission | ||
Le 9e BSAM est le magasin central unique des rechanges d’hélicoptères des armées de Terre et de l’air. Dans le domaine du MCO aéronautique interarmées, il assure l’approvisionnement en rechanges, matériels complets, outillage et documentation au profit des industriels, des unités stationnées en métropole, outre-mer ainsi que sur les théâtres d’opérations. |
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Matériel | ||
Le 9e BSAM dispose de moyens aériens (notamment les 5 avions Pilatus PC6 de l’ALAT), de véhicules de la gamme tactique et commerciale pour assurer ses multiples liaisons opérationelles (livraison de rechanges en urgece notamment) et techniques. Par ailleurs, son équipement industriel important (blanc de contrôle, machines-outils, stockeurs rotatifs, cabine de peinture…) et très spécifique (blancs avioniques « DIADEMES » 1ère et 2ème génération) lui permet de faire face à toutes ses missions. |
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Composition | ||
Le 9e BSAM compte 4 unités élémentaires : |
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